
Dr. Elie Justin Ouédraogo n’a pas manqué de rendre un vibrant hommage à Dr. Pierre Claver Damiba, ancien ministre et Premier président de la BOAD. « Vous avez impacté les différentes politiques de notre pays », a-t-il indiqué.
« L’importance du CAPES dans le dispositif de développement de notre pays ne fait l’ombre d’aucun doute. Nous ne doutons pas que cette halte des vingt ans du CAPES sera mise à profit pour encrer davantage ses missions et donner plus de présence à ses conclusions. De toutes les façons, membre de l’ACBF, qui a fait ses preuves ailleurs sur le contient, dire que le CAPES a de belles perspectives d’avenir c’est bien ouvrir une porte qui n’est pas fermée. Même si cela invite les animateurs actuels à davantage mouiller le maillot. Vive le CAPES, et joyeux anniversaire ». A ajouté le Parrain.
Néanmoins, Dr. Elie Justin Ouédraogo n’a pas manqué de s’interroger : « avec les résultats positifs que le CAPES à engranger, à l’heure du bilan, quel avenir, quel devenir pour le CAPES alors que le Burkina Faso est en proie à des difficultés ?». Selon lui, le CAPES doit s’engager pour les prochaines années, à affirmer la nécessité du changement de paradigme.